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    Villa Marie Vassilieff
    Chemin de Montparnasse
    21 avenue du Maine

    75015 Paris
    +33.(0)1.43.25.88.32
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  • Le Cercle des Histoires
  • Jumana Emil Abboud / Pernod Ricard Fellowship 2020

    Jumana Emil Abboud, par Colin Davison

    Jumana Emil Abboud (1971, Palestine-Canada) vit et tra­vaille à Jérusalem et à Londres où elle est doc­to­rante à la Slade School of Art. L’artiste uti­lise le dessin, la vidéo, la per­for­mance et le texte pour navi­guer au creux de thèmes tels que la mémoire, les sou­ve­nirs, la perte et la rési­lience.

    Jumana Emil Abboud a par­ti­cipé à de nom­breux.ses expo­si­tions et événements inter­na­tio­naux au cours des dix der­niè­res années. Depuis 2008, son tra­vail a été inclus dans : L’Art au fémi­nin, MAMA (Musée natio­nal d’art moderne et contem­po­rain), Alger, 2008 ; Intimate Narratives - Masarat Palestine, Les Halles des Schaerbek, Bruxelles, 2008 ; Scènes du Sud II – Méditerranée Orientale, Carré d’Art–Musée d’art contem­po­rain de Nîmes, Nîmes, 2008 ; Sentences on the Banks, Darat al Funun, Amman, 2010 ; Acción !MAD–International Festival of Performance Art, Madrid, 2010 ; Paper Feather Sugar Water, Foundation 3,14, Berge, 2011 ; Second World, Steirischer Herbst Festival, Graz, 2011 ; Points of Departure, Al-Mahatta Gallery, Ramallah, et ICA, London, 2013 ; Cinematic Prism, Arts Initiative Tokyo, Tokyo, 2017 ; On Women and Revolution, Gallery One, Ramallah, 2017 ; When ani­mals talked to humans, Gallery Travesia Cuatro, Madrid, 2018. Ses expo­si­tions solo incluent : Haunted Springs and Water Demons in Palestine, Kunstraum, Londres & BALTIC Centre for Contemporary Art, Gateshead, 2016 ; O whale don’t swal­low our moon !, Khalil Sakakini cultu­ral center, Ramallah, 2016 ; The Horse, the bird, the Tree and Stone, Bildmuseet, Umeå University, Umeå, 2017 ; The pome­gra­nate and the slee­ping ghoul, Darat Al Funun – Khalid Shoman Foundation, Amman, 2017 ; par­ti­cipe à la 53eme & 56eme Biennale di Venezia, 2009 et 2015 ; Qalandiya International, Palestine, 2012 et 2016 ; Sharjah Biennial 13 : Tamawuj in Ramallah Shifting Ground, 2017 ; Living Together per­for­mance fes­ti­val, MOAD DADE College, Miami ; BMW TATE LIVE Exhibition, Tate Modern, Londres, 2018 ; et Hide Your Water from the Sun, per­for­mance, The Palestinian Museum, Birzeit, 2018.


    Présentation du projet


    L’artiste s’ins­pire de l’his­toire orale pales­ti­nienne, les contes popu­lai­res et leur connexion à des sites concrets au sein du pay­sage, par­ti­cu­liè­re­ment à l’endroit de l’eau : ruis­seaux, sour­ces, puits. L’eau est ici consi­dé­rée comme une gar­dienne et une por­teuse de savoir et de mémoire. Pendant sa rési­­dence, Abboud appro­­fon­­dira ses recher­­ches actuel­­les sur l’eau, exploré comme source de récit, de passé et de pré­­sent, de fic­­tion et de réa­­lité. Elle suivra des his­­toi­­res d’eau, tirant profit de sa maté­­ria­­lité et de sa valeur, en tra­­ver­­sant la france au fil de visi­­tes et d’échanges avec des par­­ti­­cu­­liers, des musées, des biblio­­thè­­ques et des pay­­sa­­ges. Elle tra­­duira ses recher­­ches à tra­­vers de mul­­ti­­ples pro­­duc­­tions plas­­ti­­ques.

    Jumana Emil Abboud, Bride by the Spring, 100x80, Canvas, 2016. Courtesy Khaled Shoman Foundation. Photo : Issa Freij.

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