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  • Villa Vassilieff

    Villa Marie Vassilieff
    Chemin de Montparnasse
    21 avenue du Maine

    75015 Paris
    +33.(0)1.43.25.88.32
  • Ernesto Oroza / Pernod Ricard Fellow 2016
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  • Ernesto Oroza - Événements


    ÉVÉNEMENTS PASSÉS


    D’avril à octobre 2016

    Ernesto Oroza pré­sente son oeuvre Technological Disobedience dans l’espace vir­tuel du Jeu de Paume, dans le cadre de l’expo­si­tion Futurs Non-confor­mes pro­po­sée par Nicolas Maigret, artiste, com­mis­saire et ensei­gnant à The New School Parsons Paris.


    Vendredi 23 septembre 2016


    Ernesto Oroza, Atelier Pernod Ricard, 2016.

    Rencontre avec les par­ti­ci­pants de l’expo­si­tion Demain est une île.


    Jeudi 6 octobre 2016, de 18h30 à 21h30


    Au DOCVA Documentation Center for Visual Arts, Milan, Italie

    Avec : Ernesto Oroza (rési­dent Pernod Ricard Fellowship à la Villa Vassilieff), Giulo Verago et Valentina Rognoli (pro­fes­seur à l’Ecole Polytechnique de Milan)

    Via Farini invite l’artiste Ernesto Oroza à pré­sen­ter son tra­vail dans le cadre de ses recher­ches autour de la « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que ».

    Plus d’infor­ma­tions ici


    Jeudi 3 novembre 2016, 14h


    Hors-les-murs : École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs

    Let’s start, here. Sign system for computer Olivetti ELEA 9003 designed by Tomás Maldonado & Gui Bionsieppe (Ulm, 1959). Signs (operation active, automatic, ready, stop, operation stop) and Ulm diagram "non-orientational surface" reproduced with several home-made rubber joints and photocopy machine2016. Courtesy Ernesto Oroza et Villa Vassilieff.

    Intervention d’Ernesto Oroza à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs dans le cadre du sémi­naire EnsadLab.


    Du mardi 15 novembre au mercredi 16 novembre 2016


    À la Villa Vassilieff

    LET’S START, HERE
    Workshop avec les étudiants de l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Angers.

    En conver­sa­tion avec Ernesto Oroza et David Enon. Les étudiants sont invi­tés à explo­rer les notions de stan­dar­di­sa­tion, de trans­pa­rence et d’ouver­ture, en s’appuyant à la fois sur les modè­les de l’école de design d’Ulm et la col­lec­tion d’Ernesto Oroza, com­po­sée d’objets alté­rés par les citoyens cubains pour des usages alter­na­tifs. Le résul­tat du work­shop sera pré­senté pen­dant l’Open studio d’Ernesto Oroza, qui se tien­dra du jeudi 17 novem­bre au samedi 19 novem­bre (voir ci-des­sous).


    Mardi 15 novembre 2016 de 20h à 22h


    À la Villa Vassilieff

    NOSTALGIA CUBA - PROJECTION

    Ernesto Oroza pré­sen­tera deux films iné­dits en France, autour de la figure culte du réa­li­sa­teur cubain Waldo Fernandez, dit « Marakka », dont la pra­ti­que se fonde sur la pira­te­rie et le détour­ne­ment des images. Depuis 1983, “Marakka” cons­ti­tue ainsi une archive audio­vi­suelle de la mémoire cubaine. La col­lec­tion — une marque dépo­sée, connue sous le nom de « Marakka 2000 » — exploite une faille créée par les rela­tions diplo­ma­ti­ques entre les Etats-Unis et Cuba, et sub­siste grâce à sa com­pré­hen­sion pré­cise et astu­cieuse des pro­cé­du­res rela­ti­ves à la pro­tec­tion du droit d’auteur aux Etats-Unis.

    Nostalgia cubana, de Waldo Fernandez (Marakka) (1986, durée : 55’33’’) est com­posé de séquen­ces de pay­sa­ges extrai­tes de plu­sieurs films cubains. Le film est sou­vent pro­jeté en guise de déco­ra­tion ou d’ « ambiance » dans les res­tau­rants et bars cubains de Miami.

    Marakka 2012, de Magdiel Aspillaga & Ernesto Oroza (2012, durée : 34’49’’, langue : espa­gnol sous-titré en anglais) revient sur l’œuvre du réa­li­sa­teur, « un monu­ment à la pira­te­rie ».

    La pro­jec­tion sera pré­cé­dée d’une pré­sen­ta­tion de The Pirate Book, de Nicolas Maigret & Maria Roszkowska, com­pi­la­tion d’his­toi­res de par­tage, de dis­tri­bu­tion, et d’expé­rien­ces des conte­nus cultu­rels hors des limi­tes des économies, poli­ti­ques, ou cadres légaux locaux.

    Nicolas Maigret rend per­cep­ti­ble les enjeux et carac­té­ris­ti­ques inter­nes des tech­no­lo­gies à tra­vers une explo­ra­tion de leurs dys­fonc­tion­ne­ments, états limi­tes ou seuils de rup­ture. En tant que cura­teur il a initié le Disnovation Working Group, menant un ensem­ble de stra­té­gies dévian­tes et d’acti­vi­tés sym­bo­li­ques face à la « pro­pa­gande de l’inno­va­tion ». Il a co-fondé le col­lec­tif Art of Failure en 2006, et ensei­gne à pré­sent à Parsons Paris. Avec Maria Roszkowska, il a récem­ment publié The Pirate Book, une antho­lo­gie sur le pira­tage de conte­nus cultu­rels.
    peri­phe­ri­ques.free.fr / dis­no­va­tion.org / the­pi­ra­te­book.net

    Maria Roszkowska est une artiste et gra­phiste basée à Paris. Elle a été cher­cheur asso­cié à EnsadLab Paris. Entre 2010 et 2014 elle a rejoint Intégral Ruedi Baur, un studio de design gra­phi­que cultu­rel basé à Paris. En 2013, elle a desi­gné et coor­donné « Don’t Brand my public space » édité chez Lars Müller Publishers, une étude de 3 ans sur la ques­tion des villes recou­rant aux stra­té­gies de bran­ding. En 2015, elle a déve­loppé « The Pirate Book » un deuxième ouvrage cri­ti­que à propos de la copy culture.
    prin­ti­tyour­self.org /the­pi­ra­te­book.net


    Du jeudi 17 novembre au samedi 19 novembre 2016, de 14h à 19h


    À l’ate­lier Pernod Ricard, Villa Vassilieff

    OPEN STUDIO avec Ernesto Oroza

    Let’s start, here. Livre de Guy Bonsiepe (édition espagnol) et la version pirate produite à la Havane. Two books, 2016. Courtesy Ernesto Oroza et Villa Vassilieff.

    Artiste, desi­gner et auteur cubain, Ernesto Oroza ouvre les portes de son ate­lier pour par­ta­ger les fruits de ses recher­ches et les œuvres réa­li­sées lors de sa rési­dence Pernod Ricard à Paris. Parallèlement à la pro­jec­tion de films pira­tes cubains, sa propre col­lec­tion d’objets alté­rés par des citoyens cubains pour des usages alter­na­tifs sera expo­sés avec ses livres et ses tira­ges. Seront également visi­bles une série d’œuvres s’atta­chant à déter­mi­ner com­ment les pro­ces­sus contem­po­rains de stan­dar­di­sa­tion et de nor­ma­li­sa­tion dénon­cés par cer­tains dis­cours intel­lec­tuels peu­vent para­doxa­le­ment servir de moyen pour déve­lop­per des pra­ti­ques et des idées ver­na­cu­lai­res ainsi que les tac­ti­ques ordi­nai­res de survie. Les œuvres pro­dui­tes au cours d’un work­shop avec les élèves de l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts d’Angers seront également pré­sen­tées. En pré­sence de l’artiste.

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