• Ernesto Oroza / Pernod Ricard Fellow 2016
  • Événements
  • Images

    • Images

    Impressions et édition de l’artiste avec Gean Moreno, "Aprendiendo del Pequeño Haití", Textos Moire, 2009. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Ernesto Oroza pré­sente sa col­lec­tion lors du work­shop "Demain est une île" sur le thème de la « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que », avec Nathalie Muchamad, Rafael Moreno, Victorine Grataloup et Jason Wee, le 27 sep­tem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Présentation de la col­lec­tion de l’artiste lors du work­shop "Demain est une île" le 27 sep­tem­bre 2016 :, verre créé à partir du cou d’une bou­teille de Coca-Cola et d’un pied en plas­ti­que injecté. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Un étudiant mani­pule un bloc de plas­ti­que fondu de la col­lec­tion d’E. Oroza, typi­que­ment uti­lisé à Cuba pour créer des objets uti­li­tai­res lors du work­shop avec les étudiants de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts d’Angers du 15 au 16 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & David Enon.
    Ernesto Oroza pré­sente sa col­lec­tion lors du work­shop "Demain est une île" sur le thème de la « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que », avec Nathalie Muchamad, Rafael Moreno, Victorine Grataloup et Jason Wee, le 27 sep­tem­bre 2016 : édition cubaine « pirate » de livres de design, tasse réa­li­sée à partir du cul d’une bou­teille en plas­ti­que. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Ernesto Oroza pré­sente ses impres­sions lors du work­shop "Let’s Start, Here" avec les étudiants de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts d’Angers du 15 au 16 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & David Enon.
    Vernissage de l’Open Studio d’Ernesto Oroza dans l’ate­lier Pernod Ricard, 16 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Présentation de la col­lec­tion d’objets d’E. Oroza illus­trant le concept de « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que » élaboré par l’artiste, lors de son Open Studio le 18 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Présentation de la col­lec­tion d’objets d’E. Oroza illus­trant le concept de « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que » élaboré par l’artiste, lors de son Open Studio le 18 novem­bre 2016. Courtesy Villa Vassilieff.
    Ernesto Oroza lors de son Open Studio le 18 novem­bre 2016. Sur le mur, tra­vaux de sa série ParaISO (Factogram), 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Chaise modi­fiée au cours du work­shop “Let’s Start, Here”, avec les étudiants de l’ Ecole Nationale des Beaux-Arts d’Angers, du 15 au 16 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Chaise modi­fiée au cours du work­shop “Let’s Start, Here”, avec les étudiants de l’ Ecole Nationale des Beaux-Arts d’Angers, du 15 au 16 novem­bre 2016. Courtesy d’Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Oeuvres d’Ernesto Oroza pré­sen­tées lors de son work­shop le 18 Novembre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Photographie de la borne à tira­ges photo de la gare Montparnasse qui a servi à l’impres­sion des photos de la col­lec­tion digi­tale de l’artiste ainsi que de celles prises au cours de sa rési­dence. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Ernesto Oroza pré­sente une sélec­tion de sa col­lec­tion de photos argen­ti­ques et numé­ri­ques d’objets autour du thème de la « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que » lors son Open Studio le 18 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.
    Ernesto Oroza pré­sente sa col­lec­tion de photos argen­ti­ques et numé­ri­ques d’objets autour du thème de la « déso­béis­sance tech­no­lo­gi­que » lors son Open Studio le 18 novem­bre 2016. Courtesy Ernesto Oroza & Villa Vassilieff.